dimanche 23 décembre 2012

Mgr Giraud, évêque de Soissons originaire de  
Tournon en Ardèche (crédit photo : Google).





@mgrgiraud : de l'Ardèche à Rome
en passant par Twitter
Mgr Hervé Giraud, avant d'être évêque de Soissons était prêtre en Ardèche. Originaire de Tournon-sur-Rhône, cet homme d'Eglise a aussi la particularité d'être un homme branché Internet. Féru de nouvelles technologies, les réseaux sociaux n'ont point de secret pour lui, au point de lancer un compte Twitter (@mgrgiraud) sur lequel il écrit des "twittomélies". La parole de Dieu en 140 signes maxi il fallait oser !
Le Courrier Picard lui consacre aujourd'hui (23/12/12) un article dans lequel on apprend qu'il vient d'offrir au Pape un livre où il a consigné ses 700 premières twittomélies sachant que Benoît XVI allait ouvrir son propre compte Twitter (@pontifex_fr).
Les voix du Seigneur sont peut-être impénétrables en tout cas elles cheminent très bien sur les réseaux sociaux. Et Mgr Giraud de souligner dans cet article que "Twitter est important pour le partage, la réflexion, la solidarité et même l'humour".
Comme quoi on peut gazouiller au nom de toutes les chapelles.

samedi 15 décembre 2012

Christian Grangis, secrétaire départemental
du FN en Ardèche, conseiller régional
dit son mouvement en ordre de bataille
pour les municipales de 2014.
Le FN à l'assaut des grandes villes ardéchoises
Christian Grangis, le secrétaire départemental du FN en Ardèche le dit haut et fort, son parti est en ordre de bataille pour les municipales. "Jusqu'à maintenant Jean-Marie Le Pen s'attaquait aux grands scrutins, avec Marine, on s'attaque aux fondations pour construire de manière solide. Nous avons donc mis un responsable par canton pour identifier les cadres qui porteront les listes aux municipales. Pour l'instant nous avons l'intention de nous présenter sur les villes d'Aubenas, Privas, Le Teil, Tournon, Saint-Péray, Annonay, Saint-Agrève. Plus quelques petites communes où les listes seront portées par des candidats en leur nom propre". Et même s'il n'en est pas question du côté de l'UMP, Christian Grangis se dit "ouvert à toute alliance. A l'UMP, ils ont le même langage que nous, ils sont même voire plus excessifs parfois, donc l'ouverture c'est possible avec le rassemblement Bleu Marine". Avec plus d'un an d'avance, le FN  ne veut pas manquer le rendez-vous de ces élections municipales. "Nous allons d'ailleurs envoyer un questionnaire aux habitants des communes où nous allons nous présenter afin de mieux connaître leurs doléances et c'est à partir de leurs réponses que nous construirons un programme".
Avec 700 adhérents* en Ardèche, le FN n'a pas l'intention de faire de la figuration aux côtés des deux autres forces politiques ardéchoises.
*chiffres annoncés par le parti lui-même

jeudi 13 décembre 2012

Quid du groupe du PRG
et apparentés à l'assemblée
régionale ? 
Le groupe Radical de gauche en quête d'un nouvel élu
C'est la dernière fois que Thierry Braillard (PRG), conseiller régional Rhône-Alpes siègera en tant que tel. Il vient effectivement de démissionner de son mandat, atteint par le cumul des mandats. Elu aux dernières élections législatives, en juin dernier, il a toutefois attendu que le recours déposé à son encontre par son rival Philippe Meirieu (EELV) soit rejeté pour pouvoir le faire. Son départ pose cependant un problème à son groupe politique, le Parti radical de gauche et apparentés, qui en perdant un élu perd sa notion de groupe. En effet, dans les statuts de l'assemblée régionale, un groupe est constitué à partir de cinq élus. Composé jusqu'à aujourd'hui de Thierry Braillard, Sarah Boukaala, Catherine Pidoux, Gérard Perrissin-Fabert, André Friedenberg, les voilà obligés aujourd'hui de rechercher un 5e homme (ou femme). Et où aller le (la) chercher sinon dans le groupe majoritaire ? Mais à force de voir des élus partir, le groupe majoritaire PS et apparentés se réduit comme peau de chagrin. Avec 47 élus aujourd'hui ils restent toutefois devant mais pas très loin devant le groupe de l'opposition UDC et apparentés qui compte 40 conseillers, les écolos 37, le FN 15, le FDG 10, le PRG 5 et les non inscrits de l'extrême droite 2.
Reste à savoir maintenant qui des 4 apparentés du groupe majoritaire voudra rejoindre le groupe PRG et apparentés pour lui sauver sa tête. Dans les travées les noms de Philippe Lacondemine, élu du Rhône courrait beaucoup mais il semblerait que celui-ci ne soit pas intéressé outre mesure. Reste les noms  de l'Ardéchoise Valérie Malavieille, de l'élu du Rhône Gwendal Peizerat et de David Smetanine en Isère pour pouvoir encore rejoindre les rangs du PRG. Sans ce transfert, le groupe PRG se verrait donc dissous, une solution évidemment pas envisageable à moins que les statuts changent et redéfinissent le nombre d'élus pour la constitution d'un groupe à 4. Là encore cette mesure ne semble pas à l'ordre du jour. Aujourd'hui le grincement de dents se fait entendre de part et d'autre des deux groupes. Le PRG rappelant à sa majorité qu'il ne serait rien de tout ça, si elle avait respecté son accord de groupes en début de mandature en octroyant dès le départ 6 élus. Le PS voyant son groupe diminuer dangereusement. Le mercato est ouvert.
Les arts premiers décentralisés
Les arts premiers du musée du Quai
Branly bientôt exposés au château
de Vogüé en Ardèche. 
C'est une première en Ardèche, une exposition du musée du quai Branly à Paris, musée spécialisé dans les arts premiers, serait délocalisée au château de Vogüé dans le sud du département courant de l'année prochaine. Une exposition qui pourrait donner un coup de pouce supplémentaire au dossier de la Grotte Chauvet en lice actuellement pour être retenu et donc inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco. C'est l'Etat français qui devrait décider dans les prochaines semaines de sa candidature ou pas pour représenter la France. Il est en compétition avec d'autres dossiers français tels que les région viticoles Bourgogne, Champagne... 
Après Metz-Pompidou, Lens-Le Louvre, voici le temps de la culture pour tous.