jeudi 12 juillet 2012

Claude Carle ne craint pas la remise en cause de sa loi
Le Conseiller régional et sénateur, Claude Carle
 fait parler de lui avec sa loi éponyme. 
L'enseignement catholique a craint un moment, pendant la campagne présidentielle, que certaines mesures prises en faveur de la prise en charge du coût des élèves du primaire dans le privé par la commune ne soient remises en cause. En effet, cette crainte était fondée suite à un courrier que François Hollande, alors candidat, aurait fait parvenir au Comité national d'action laïque, CNAL), précisant qu'il souhaitait "revoir le forfait communal acté par la loi Carle de 2009, obligeant le maire de payer la scolarité d'un enfant résidant dans sa commune".
Mais ça, c'était avant !
Aujourd'hui, le nouveau ministre de l'Education nationale, Vincent Peillon, nommé sous la présidence de François Hollande, semble avoir mis cette missive au panier et affirme que "la loi Carle ne (lui) pose pas de problème, nous ne rouvrirons pas ce dossier".
Ce en quoi, le sénateur Claude Carle, par ailleurs conseiller régional Rhône Alpes, semble partager cette opinion. Ce matin, tout serein, il affirmait : "Il n'y a aucun intérêt à réveiller la guerre des écoles publiques privées. Cette loi a été votée à l'unanimité au Sénat mois les voix des communistes et votée dans les mêmes termes à l'Assemblée nationale".
Cette histoire aura au moins eu le mérite de faire parler de la loi Carle et de remettre le nom du sénateur au goût du jour.

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