Rions un peu en "chauvant" la France
Sur Canal plus existe une émission décalée comme le Petit journal, appelée Action discrète qui mène des enquêtes comme aucun journaliste ne pourrait le faire aujourd'hui... Cet épisode est plutôt sympathique et permet de voir que l'humour n'a pas encore disparu du champ politique : http://actiondiscrete.tumblr.com/post/11224906633/juppe-bordeaux-2012-coppe-ump-chauve
dimanche 30 octobre 2011
Du côté des législatives valentinoises
Pas un jour sans que ne bruisse cette petite rumeur sur les législatives. A Valence, ça balance pas mal... Les noms pointent leur bout de leur nez, ils ne sont pas encore sortis du chapeau, mais comme un certain président en son temps, ils y pensent en se rasant le matin... A droite aucun mystère sur la candidature de Patrick Labaune a sa propre succession même si un récent article dans Le Monde ne le donne plus gagnant aujourd'hui. A ses côtés, le jeune conseiller général, chef de file d'opposition municipale, Nicolas Daragon pourrait être tenté par l'aventure, histoire de rendre la monnaie de sa pièce à son ancien patron, qui semblerait lui vouloir le courcircuiter aux municipales.
A gauche, là aussi des ambitions affichées du côté du maire tout d'abord, Alain Maurice, mais aussi chez le conseiller municipal et général Pierre-Jean Veyret et le nom de Wilfried Pailhès est souvent évoqué (1er adjoint et conseiller général de Bourg-les-Valence). Les instances du PS vont devoir trancher pour l'investiture qui doit se préparer en ce moment. Les débats risquent d'être sympas.
Chez les écolos, Michèle Rivasi, pourrait retenter l'aventure (elle a été députée de la Drôme de 1997 à 2002), cela dépendra des accords trouvés ou pas au niveau national entre le PS et les Verts.
Pas un jour sans que ne bruisse cette petite rumeur sur les législatives. A Valence, ça balance pas mal... Les noms pointent leur bout de leur nez, ils ne sont pas encore sortis du chapeau, mais comme un certain président en son temps, ils y pensent en se rasant le matin... A droite aucun mystère sur la candidature de Patrick Labaune a sa propre succession même si un récent article dans Le Monde ne le donne plus gagnant aujourd'hui. A ses côtés, le jeune conseiller général, chef de file d'opposition municipale, Nicolas Daragon pourrait être tenté par l'aventure, histoire de rendre la monnaie de sa pièce à son ancien patron, qui semblerait lui vouloir le courcircuiter aux municipales.
A gauche, là aussi des ambitions affichées du côté du maire tout d'abord, Alain Maurice, mais aussi chez le conseiller municipal et général Pierre-Jean Veyret et le nom de Wilfried Pailhès est souvent évoqué (1er adjoint et conseiller général de Bourg-les-Valence). Les instances du PS vont devoir trancher pour l'investiture qui doit se préparer en ce moment. Les débats risquent d'être sympas.
Chez les écolos, Michèle Rivasi, pourrait retenter l'aventure (elle a été députée de la Drôme de 1997 à 2002), cela dépendra des accords trouvés ou pas au niveau national entre le PS et les Verts.
Des rubans, des rubans encore des rubans
On est entré dans la phase inaugurations, celle qui précède toujours une période électorale. Même si les législatives sont encore loin (juin 2012), il n'empêche que 2012 sera l'année électorale par définition (la présidentielle en mars avril). Alors on commence à mettre les bouchées double pour finir les travaux. Et on a trouvé une nouvelle parade pour multiplier ce type de rendez-vous. Il y a d'abord la pose de la première pierre, puis des fenêtres et enfin de la dernière tuile ! Ça fait toujours trois occasions de parler du même sujet. L'emploi du temps des élus devient compliqué et l'agenda se noircit autant que la semelle de leurs chaussures à vouloir fouler tous les territoires susceptibles, ne soyons pas dupes, de rapporter des voix. On se pousse sur la photo en espérant que le journaliste ne coupera pas au montage ou n'omettra pas de citer son nom.
Et en même temps, comment se faire connaître du public si on n'a pas sa tête dans le journal ? On le sait les médias sont des faiseurs de roi. On l'a constaté avec l'élection de Nicolas Sarkozy, la presse l'avait choisie. On l'a constaté plus récemment avec François Hollande et les primaires. Il n'y en avait que pour lui. Aujourd'hui, les médias font ou NE font PAS exister les élus. Et les électeurs ne se font une idée de leur candidat qu'à partir de ce qu'ils en lisent. Regardez la participation aux meetings politiques ? Elle est proche de zéro si vous enlevez les invités et les traditionnels militants qui remplissent les salles.
Alors ne vous étonnez pas si dans les prochaines semaines et prochains mois, l'actualité se remplit de ces photos-là...
Et demandez-vous si les photos qui reviennent chaque semaine ne vous disent pas un autre message ?
On est entré dans la phase inaugurations, celle qui précède toujours une période électorale. Même si les législatives sont encore loin (juin 2012), il n'empêche que 2012 sera l'année électorale par définition (la présidentielle en mars avril). Alors on commence à mettre les bouchées double pour finir les travaux. Et on a trouvé une nouvelle parade pour multiplier ce type de rendez-vous. Il y a d'abord la pose de la première pierre, puis des fenêtres et enfin de la dernière tuile ! Ça fait toujours trois occasions de parler du même sujet. L'emploi du temps des élus devient compliqué et l'agenda se noircit autant que la semelle de leurs chaussures à vouloir fouler tous les territoires susceptibles, ne soyons pas dupes, de rapporter des voix. On se pousse sur la photo en espérant que le journaliste ne coupera pas au montage ou n'omettra pas de citer son nom.
Et en même temps, comment se faire connaître du public si on n'a pas sa tête dans le journal ? On le sait les médias sont des faiseurs de roi. On l'a constaté avec l'élection de Nicolas Sarkozy, la presse l'avait choisie. On l'a constaté plus récemment avec François Hollande et les primaires. Il n'y en avait que pour lui. Aujourd'hui, les médias font ou NE font PAS exister les élus. Et les électeurs ne se font une idée de leur candidat qu'à partir de ce qu'ils en lisent. Regardez la participation aux meetings politiques ? Elle est proche de zéro si vous enlevez les invités et les traditionnels militants qui remplissent les salles.
Alors ne vous étonnez pas si dans les prochaines semaines et prochains mois, l'actualité se remplit de ces photos-là...
Et demandez-vous si les photos qui reviennent chaque semaine ne vous disent pas un autre message ?
La gauche au sénat... les femmes toujours pas
C'est l'association Osez le féminisme qui fait ce constat. "Les résultats des dernières sénatoriales ont révélé une inquiétante stagnation de la parité. Alors que depuis la loi sur la parité de 2000, le nombre de sénatrices avait plus que doublé, lors des dernières élections il n’est passé que de 75 à 76 élues. Du fait de l’augmentation du nombre total de sièges, la part de femmes élues passe elle de 21,9% à 21,8%. La féminisation du Sénat est entravée par le manque de volonté politique, la première place des listes revenant quasi systématiquement à un homme. Il est donc urgent d’instaurer des mesures plus contraignantes".
Et moi je fais le rêve d'un monde où les compétences seront les seules clés à ouvrir les portes de la carrière qu'on s'est choisie.
vendredi 28 octobre 2011
Tout va très bien...
Il y a quelques semaines, une passe d'armes avait eu lieu entre des élus de la majorité de la région Rhône-Alpes (lire ci-dessous). La presse est souvent taxée d'exagérer dans un sens ou dans l'autre. Là vous avez la preuve par l'image : http://dai.ly/tCCs4r
Il y a quelques semaines, une passe d'armes avait eu lieu entre des élus de la majorité de la région Rhône-Alpes (lire ci-dessous). La presse est souvent taxée d'exagérer dans un sens ou dans l'autre. Là vous avez la preuve par l'image : http://dai.ly/tCCs4r
mardi 25 octobre 2011
Mathieu Darnaud impose son style
Le conseiller régional, maire de Guilherand-Granges, secrétaire national UMP en charge de la réindustrialisation, président de l'association des élus pour l'emploi et le développement du territoire du nord Ardèche, Mathieu Darnaud taille patron. Fini le temps où il jouait les seconds couteaux pour les députés de droite, aujourd'hui c'est lui qui entre dans la danse et il le fait savoir. Il n'en fait pas un mystère et c'est un secret pour personne, ce sera le candidat de droite pour s'opposer au député sortant Olivier Dussopt sur la 2e circonscription de l'Ardèche. Aujourd'hui, il fait connaître ses ambitions et surtout fait appel à des poids lourds de la politique comme le ministre du Travail et de l'Emploi, Xavier Bertrand pour valider le travail qui est fait dans le nord du département en terme de développement économique. Et de rappeler certaines vérités sur des entreprises telles que GPV, MPHygiène, Irisbus qui ont toutes disposées de mesures de l'Etat pour sauver, pérenniser et disposer d'aides quand le moment s'en est fait sentir.
Le jeune élu du nord Ardèche bénéficie de la confiance de ses pairs qui lui ont confié cet été, une mission concernant la réindustrialisation des territoires en lui octroyant par la même un secrétariat national. Mathieu Darnaud, un nom qui résonne aujourd'hui au-delà du périmètre de sa commune. Conseiller régional depuis les dernières élections, on le voit partout sur le terrain. Dimanche il était encore au stade de rugby de Vissenty à Annonay au côté d'Otavio Barbato pour assister à la finale du match de rugby entre la France et la Nouvelle Zélande.
Retenez ce nom, Mathieu Darnaud : un nom, une personne, un style.
Mathieu Darnaud et Xavier Bertrand. |
Le jeune élu du nord Ardèche bénéficie de la confiance de ses pairs qui lui ont confié cet été, une mission concernant la réindustrialisation des territoires en lui octroyant par la même un secrétariat national. Mathieu Darnaud, un nom qui résonne aujourd'hui au-delà du périmètre de sa commune. Conseiller régional depuis les dernières élections, on le voit partout sur le terrain. Dimanche il était encore au stade de rugby de Vissenty à Annonay au côté d'Otavio Barbato pour assister à la finale du match de rugby entre la France et la Nouvelle Zélande.
Retenez ce nom, Mathieu Darnaud : un nom, une personne, un style.
Variation sur un même thème
A Valence, en ce moment, les élus se sont découvert une passion immodérée pour le ping-pong. Quatrième conférence de presse en moins d'une semaine, sur le même thème, celui de la taxe d'habitation. Augmentée de 8% par la majorité actuelle, à savoir celle menée par le socialiste Alain Maurice, l'opposition lui rétorque qu'elle ne tient pas ses promesses de campagne, dans lesquelles il disait ne pas vouloir augmenter les impôts. Les adjoints Zabida Nakib Colomb, Pierre-Jean Veyret, Messieurs Cresson, Bouchet, Tixier... montent tous au créneau en disant que la faute n'est pas dû à la municipalité mais au gouvernement qui n'a pas compensé à l'euro près la suppression de la taxe professionnelle du coup il manque 4 millions d'euros dans les caisses de la mairie. L'impôt étant le seul levier restant pour faire rentrer des recettes. Faux crient en coeur mais séparément le député Patrick Labaune et le chef de file d'opposition Nicolas Daragon. Pour l'ex maire de Valence, les raisons avancées par la municipalité ne tiennent pas, les impôts augmentent parce que le maire ne peut plus faire face aux dépenses qu'ils occasionnent. Pour Nicolas Daragon, non seulement les impôts augmentent mais en plus le maire a supprimé l'abattement général de 10% alors que rien ne l'y oblige du coup les personnes seules, célibataires, sans enfants, veufs ou veuves voient leur taxe d'habitation flamber. Quand les uns crient au mensonge, les autres répondent d'aller voir du côté de ceux qui votent les lois et notamment celle de la suppression de la TP. Querelles politiciennes, les élections arrivent à grand pas, il est temps de faire entendre sa voix : Alain Maurice, Pierre-Jean Veyret, Nicolas Daragon, Patrick Labaune autant de noms qui commencent à résonner, une petite musique post législatives. Mais au final, que les uns ou les autres aient des arguments qui fassent mouche, une seule chose est sûre c'est que les impôts augmenteront bien au final pour les Valentinois.
A Valence, en ce moment, les élus se sont découvert une passion immodérée pour le ping-pong. Quatrième conférence de presse en moins d'une semaine, sur le même thème, celui de la taxe d'habitation. Augmentée de 8% par la majorité actuelle, à savoir celle menée par le socialiste Alain Maurice, l'opposition lui rétorque qu'elle ne tient pas ses promesses de campagne, dans lesquelles il disait ne pas vouloir augmenter les impôts. Les adjoints Zabida Nakib Colomb, Pierre-Jean Veyret, Messieurs Cresson, Bouchet, Tixier... montent tous au créneau en disant que la faute n'est pas dû à la municipalité mais au gouvernement qui n'a pas compensé à l'euro près la suppression de la taxe professionnelle du coup il manque 4 millions d'euros dans les caisses de la mairie. L'impôt étant le seul levier restant pour faire rentrer des recettes. Faux crient en coeur mais séparément le député Patrick Labaune et le chef de file d'opposition Nicolas Daragon. Pour l'ex maire de Valence, les raisons avancées par la municipalité ne tiennent pas, les impôts augmentent parce que le maire ne peut plus faire face aux dépenses qu'ils occasionnent. Pour Nicolas Daragon, non seulement les impôts augmentent mais en plus le maire a supprimé l'abattement général de 10% alors que rien ne l'y oblige du coup les personnes seules, célibataires, sans enfants, veufs ou veuves voient leur taxe d'habitation flamber. Quand les uns crient au mensonge, les autres répondent d'aller voir du côté de ceux qui votent les lois et notamment celle de la suppression de la TP. Querelles politiciennes, les élections arrivent à grand pas, il est temps de faire entendre sa voix : Alain Maurice, Pierre-Jean Veyret, Nicolas Daragon, Patrick Labaune autant de noms qui commencent à résonner, une petite musique post législatives. Mais au final, que les uns ou les autres aient des arguments qui fassent mouche, une seule chose est sûre c'est que les impôts augmenteront bien au final pour les Valentinois.
lundi 24 octobre 2011
Philosophie du matin...
Le conseil général de Privas, Hervé Saulignac devant la finale de la coupe du monde de rugby, dimanche matin, qui opposait le XV de France et les All Blacks s'est exclamé : "Il y a des défaites qui rendent presque aussi fier que des victoires" ! Un lapsus consolateur ? Ou un esprit visionnaire ?
Le conseil général de Privas, Hervé Saulignac devant la finale de la coupe du monde de rugby, dimanche matin, qui opposait le XV de France et les All Blacks s'est exclamé : "Il y a des défaites qui rendent presque aussi fier que des victoires" ! Un lapsus consolateur ? Ou un esprit visionnaire ?
Hollande n'aime pas les casseroles
On attribue souvent cette phrase à François Mitterrand : "peu importe qu'on parle de moi, en bien ou en mal, pourvu qu'on en parle". C'est peut être ce que se dit Pascal Terrasse en ce moment. Mais il semblerait qu'il court surtout après son retour en bonne grâce dans le clan Hollande. La preuve tout ce qu'il fait pour prouver qu'il fait partie des happy few : une photo prise au moment du congrès des Départements à Besançon en fin de semaine dernière aux côtés de Claude Bartolone et de François Hollande, François Hollande à toutes les sauces sur son Facebook, son entourage qui communique sur "sa bonne place" le jour de l'investiture du candidat à Paris dans la salle... Bref on l'aura compris Pascal Terrasse essaie de faire croire que rien n'a changé dans ses rapports avec les caciques du PS, mais rue Solférino on semble vouloir prendre ses distances. Marisol Touraine, la conseillère spéciale de François Hollande, sur les questions sociales l'a même redit à Libération, "je suis la seule à pouvoir m'exprimer sur ce genre de question, Pascal Terrasse ne représente que lui même quand il parle des retraites".
Coup de grâce ou coup du sort, même Paris Match dans son édition de cette semaine semble vouloir revenir sur l'affaire Terrasse qui a découlé du débat des primaires entre Martine Aubry et François Hollande.
Il y a quelques semaines, lors d'une assemblée plénière du Conseil général, le président Pascal Terrasse disait sûr de lui que François Hollande "ne prendrait personne dans son équipe qui aurait des casseroles aux fesses". Il aurait dû se méfier et se souvenir de cette vieille maxime "il faut savoir tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler".
Paris Match de cette semaine, (du 20 au 26 octobre 2011). |
Coup de grâce ou coup du sort, même Paris Match dans son édition de cette semaine semble vouloir revenir sur l'affaire Terrasse qui a découlé du débat des primaires entre Martine Aubry et François Hollande.
Il y a quelques semaines, lors d'une assemblée plénière du Conseil général, le président Pascal Terrasse disait sûr de lui que François Hollande "ne prendrait personne dans son équipe qui aurait des casseroles aux fesses". Il aurait dû se méfier et se souvenir de cette vieille maxime "il faut savoir tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler".
mardi 18 octobre 2011
Show must go on ?
Aujourd'hui sur la photo prise à Paris pour le tracé du Tour de France, ils sourient, l'un à droite et l'autre à gauche... Pas très rapprochés... Même éloignés ? On dit leur relation tendue depuis les dernières élections qui ont passablement éprouvé Pascal Terrasse et Olivier Dussopt. L'un paie pour avoir menti, l'autre pour avoir choisi Aubry. Le clan Hollande semble avoir tiré un trait sur le député ardéchois pour entrer dans la garde rapprochée du candidat élu pour la présidentielle ces prochains mois, le second paie son absence sur le terrain pour avoir trop voulu courir sur celui de Martine Aubry. Quid de leur avenir politique aujourd'hui ? Il en est un troisième qui paiera aussi la facture de ces élections, c'est Hervé Saulignac. Cela pourrait bien revoir la donne sur son propre plan de carrière qui dépend il faut bien le dire essentiellement de celle de son grand frère Pascal Terrasse. Sale temps pour les caciques du PS ardéchois.
Aujourd'hui sur la photo prise à Paris pour le tracé du Tour de France, ils sourient, l'un à droite et l'autre à gauche... Pas très rapprochés... Même éloignés ? On dit leur relation tendue depuis les dernières élections qui ont passablement éprouvé Pascal Terrasse et Olivier Dussopt. L'un paie pour avoir menti, l'autre pour avoir choisi Aubry. Le clan Hollande semble avoir tiré un trait sur le député ardéchois pour entrer dans la garde rapprochée du candidat élu pour la présidentielle ces prochains mois, le second paie son absence sur le terrain pour avoir trop voulu courir sur celui de Martine Aubry. Quid de leur avenir politique aujourd'hui ? Il en est un troisième qui paiera aussi la facture de ces élections, c'est Hervé Saulignac. Cela pourrait bien revoir la donne sur son propre plan de carrière qui dépend il faut bien le dire essentiellement de celle de son grand frère Pascal Terrasse. Sale temps pour les caciques du PS ardéchois.
dimanche 16 octobre 2011
Hollande-Aubry = Terrasse-Dussopt
Le second tour des primaires socialistes aura donc donné sans surprise la faveur à François Hollande. En Ardèche, il arrive en tête avec 55,09% contre 44,91% pour la patronne du PS. A peu près les mêmes résultats que de l'autre côté du Rhône, dans la Drôme, où le candidat du président du Conseil général, Didier Guillaume a recueilli aussi 55,4% contre 44,7% pour Martine Aubry. En Drôme, les résultats annoncent plus de 22500 votants soit mieux qu'au premier tour. Dans l'Ardèche environ 500 votants de plus. Des voix nouvelles à hauteur de 20% d'un côté comme de l'autre du Rhône.
En Ardèche, les primaires auront fait des dégâts collatéraux : Pascal Terrasse et Olivier Dussopt. Le premier pour être apparu comme un menteur, vidéo à l'appui, à propos des retraites et le second pour avoir été le porte parole national de Martine Aubry et pour ne pas avoir fédéré autour de son nom. Même si dans sa commune, Martine Aubry est arrivée en tête au premier et au second tour (52,87 % Annonay 1, 56,96% Annonay 2). Reste à savoir ce que ces résultats vont avoir comme impact dans la carrière de l'un et l'autre des élus ardéchois. Même si Olivier Dussopt dès l'annonce de la victoire d'Hollande a appelé au rassemblement du candidat désigné. Pascal Terrasse, quant à lui semble avoir disparu du champ médiatique et des réseaux sociaux !
Résultats dans certaines villes : Valence 55,3% Hollande 44,7% Aubry ; Romans 51,6% - 48,4% ; Montélimar 57,3% - 42,7% ; Bourg-de-Péage 60,5% - 39,5% ; Pierrelatte 61,3% - 38,7% ; Privas 61,23% - 38,76% ; Guilherand-Granges 61,49% - 38,51% ; Annonay 1 47,13% - 52,87% ; Annonay 2 43,04% - 56,96% ; Davézieux 49,45% - 51,55% ; Tournon 1 51,01% - 48,99% ; Tournon 2 45,6% - 55,4%
Résultats par circonscription en Ardèche : François Hollande arrive premier sur les trois : 1re (celle de Pascal Terrasse) 59,72% ; 2e (celle d'Olivier Dussopt) 50,44% ; 3e 56,23%.
Le second tour des primaires socialistes aura donc donné sans surprise la faveur à François Hollande. En Ardèche, il arrive en tête avec 55,09% contre 44,91% pour la patronne du PS. A peu près les mêmes résultats que de l'autre côté du Rhône, dans la Drôme, où le candidat du président du Conseil général, Didier Guillaume a recueilli aussi 55,4% contre 44,7% pour Martine Aubry. En Drôme, les résultats annoncent plus de 22500 votants soit mieux qu'au premier tour. Dans l'Ardèche environ 500 votants de plus. Des voix nouvelles à hauteur de 20% d'un côté comme de l'autre du Rhône.
En Ardèche, les primaires auront fait des dégâts collatéraux : Pascal Terrasse et Olivier Dussopt. Le premier pour être apparu comme un menteur, vidéo à l'appui, à propos des retraites et le second pour avoir été le porte parole national de Martine Aubry et pour ne pas avoir fédéré autour de son nom. Même si dans sa commune, Martine Aubry est arrivée en tête au premier et au second tour (52,87 % Annonay 1, 56,96% Annonay 2). Reste à savoir ce que ces résultats vont avoir comme impact dans la carrière de l'un et l'autre des élus ardéchois. Même si Olivier Dussopt dès l'annonce de la victoire d'Hollande a appelé au rassemblement du candidat désigné. Pascal Terrasse, quant à lui semble avoir disparu du champ médiatique et des réseaux sociaux !
Résultats dans certaines villes : Valence 55,3% Hollande 44,7% Aubry ; Romans 51,6% - 48,4% ; Montélimar 57,3% - 42,7% ; Bourg-de-Péage 60,5% - 39,5% ; Pierrelatte 61,3% - 38,7% ; Privas 61,23% - 38,76% ; Guilherand-Granges 61,49% - 38,51% ; Annonay 1 47,13% - 52,87% ; Annonay 2 43,04% - 56,96% ; Davézieux 49,45% - 51,55% ; Tournon 1 51,01% - 48,99% ; Tournon 2 45,6% - 55,4%
Résultats par circonscription en Ardèche : François Hollande arrive premier sur les trois : 1re (celle de Pascal Terrasse) 59,72% ; 2e (celle d'Olivier Dussopt) 50,44% ; 3e 56,23%.
vendredi 14 octobre 2011
Pascal Terrasse piégé par son temps
Pas de chance pour le président du Conseil général de l'Ardèche, Pascal Terrasse. Il a beau se débattre, nier et crier au piège, il semblerait que ce soit sa faconde qui l'ait piégé tout seul. En effet, après avoir dit que Martine Aubry n'avait rien compris à ce qu'il avait voulu dire sur la retraite, le voici pris en flagrant délit de mensonge grâce à une vidéo prise lors d'un colloque sur la retraite. Il aurait dû se méfier des nouvelles technologies et des réseaux sociaux dont il est pourtant lui même féru. Aujourd'hui, tout est filmé et mis quasiment en ligne en direct... Sale temps pour les bavards...
Lui qui adore paraître dans les médias, il est servi.
Lisez vous même :
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/primaire-ps-pascal-terrasse-met-francois-hollande-dans-l-embarras_1040714.html?xtor=x
Pas de chance pour le président du Conseil général de l'Ardèche, Pascal Terrasse. Il a beau se débattre, nier et crier au piège, il semblerait que ce soit sa faconde qui l'ait piégé tout seul. En effet, après avoir dit que Martine Aubry n'avait rien compris à ce qu'il avait voulu dire sur la retraite, le voici pris en flagrant délit de mensonge grâce à une vidéo prise lors d'un colloque sur la retraite. Il aurait dû se méfier des nouvelles technologies et des réseaux sociaux dont il est pourtant lui même féru. Aujourd'hui, tout est filmé et mis quasiment en ligne en direct... Sale temps pour les bavards...
Lui qui adore paraître dans les médias, il est servi.
Lisez vous même :
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/primaire-ps-pascal-terrasse-met-francois-hollande-dans-l-embarras_1040714.html?xtor=x
Région Rhône-Alpes : le In, le Off
Les jours d'assemblée plénière à la région Rhône Alpes c'est comme au festival d'Avignon, il y a le In et le Off. Jeudi et vendredi, les 156 conseillers régionaux se sont retrouvés dans le nouvel hémicycle à Confluence pour délibérer sur des sujets aussi divers que les orientations budgétaires, les lycées, la formation, la protection de la terre agricole... Des heures et des heures à "s'écouter" les uns les autres, à s'invectiver parfois, à s'énerver. Tel Philippe Meirieu, 2e vice-président écolo, qui sur son dossier fétiche, la formation, s'adresse de manière frontale aux élus FN "vous n'avez pas le monopole de l'effort, mais celui de la haine. Vous nous efforcerez bientôt à porter l'étoile verte". Elisa Martin, du groupe Front de gauche, s'éternise sur un sujet, certains élus lui demandent de manière un peu cavalière de faire plus court, elle répond "les heures avançant, les degrés d'alcool montent, l'attention baisse". Bref, une grande cour de récréation...
A côté de ça, Jérôme Safar, président du groupe PS, organise des conférences de presse, sur des thèmes qui n'ont pas toujours à voir avec l'ordre du jour. Mais en substance, le message est toujours le même, nous dire que c'est parfois compliqué de gouverner avec les Verts, alors au cas où pendant l'assemblée plénière il y aurait un couac, autant prendre les devants et le dire. Ce qui fait souvent dire dans les rangs de l'opposition, qu'avec des amis comme ça pas besoin d'ennemis. Opposition qui selon Jérôme Safar est inexistante. De là à penser que les Verts font office d'opposition ? Les débats sont du coup plus longs car il faut faire parler tous les groupes : Majorité, Front de Gauche, Europe Ecologie les Verts, les radicaux de gauche et apparentés, Union de la Droite et du centre et apparentés, FN ! Les faire s'entendre ! Pour finalement enregistrer des votes sans surprise.
Thierry Kovacs, élu isérois, a même rappelé au président Jean-Jack Queyranne, qu'il serait bon que la police soit faite pour faire respecter les temps de parole histoire de finir à l'heure...
Pour le coup c'est la police tout court qu'on a bien failli appeler en fin de séance, quand l'élu écolo, Gérard Leras ulcéré par l'intervention du radical de gauche perd son sang froid. En effet, Thierry Braillard, en demandant la vérification du quorum, fait lever prématurément la séance alors qu'un voeu des écolos portait sur la fermeture de la centrale nucléaire du Bugey. Un voeu évidemment important aux yeux des élus EELV. Gérard Leras fustige l'élu qui selon lui, n'est jamais à la région Rhône Alpes, et lâche "le jour où vous apporterez du contenu à la Région, ça se saura".
La couleur des cieux serait-elle en train de changer au-dessus de la tête du nouveau conseil régional. De l'arc-en-ciel souhaité par Jean-Jack Queyranne, c'est plutôt des éclairs qu'on entend venir au loin, de là à ce que la tempête s'installe vraiment, il n'y a qu'un pas.
Les jours d'assemblée plénière à la région Rhône Alpes c'est comme au festival d'Avignon, il y a le In et le Off. Jeudi et vendredi, les 156 conseillers régionaux se sont retrouvés dans le nouvel hémicycle à Confluence pour délibérer sur des sujets aussi divers que les orientations budgétaires, les lycées, la formation, la protection de la terre agricole... Des heures et des heures à "s'écouter" les uns les autres, à s'invectiver parfois, à s'énerver. Tel Philippe Meirieu, 2e vice-président écolo, qui sur son dossier fétiche, la formation, s'adresse de manière frontale aux élus FN "vous n'avez pas le monopole de l'effort, mais celui de la haine. Vous nous efforcerez bientôt à porter l'étoile verte". Elisa Martin, du groupe Front de gauche, s'éternise sur un sujet, certains élus lui demandent de manière un peu cavalière de faire plus court, elle répond "les heures avançant, les degrés d'alcool montent, l'attention baisse". Bref, une grande cour de récréation...
A côté de ça, Jérôme Safar, président du groupe PS, organise des conférences de presse, sur des thèmes qui n'ont pas toujours à voir avec l'ordre du jour. Mais en substance, le message est toujours le même, nous dire que c'est parfois compliqué de gouverner avec les Verts, alors au cas où pendant l'assemblée plénière il y aurait un couac, autant prendre les devants et le dire. Ce qui fait souvent dire dans les rangs de l'opposition, qu'avec des amis comme ça pas besoin d'ennemis. Opposition qui selon Jérôme Safar est inexistante. De là à penser que les Verts font office d'opposition ? Les débats sont du coup plus longs car il faut faire parler tous les groupes : Majorité, Front de Gauche, Europe Ecologie les Verts, les radicaux de gauche et apparentés, Union de la Droite et du centre et apparentés, FN ! Les faire s'entendre ! Pour finalement enregistrer des votes sans surprise.
Thierry Kovacs, élu isérois, a même rappelé au président Jean-Jack Queyranne, qu'il serait bon que la police soit faite pour faire respecter les temps de parole histoire de finir à l'heure...
Pour le coup c'est la police tout court qu'on a bien failli appeler en fin de séance, quand l'élu écolo, Gérard Leras ulcéré par l'intervention du radical de gauche perd son sang froid. En effet, Thierry Braillard, en demandant la vérification du quorum, fait lever prématurément la séance alors qu'un voeu des écolos portait sur la fermeture de la centrale nucléaire du Bugey. Un voeu évidemment important aux yeux des élus EELV. Gérard Leras fustige l'élu qui selon lui, n'est jamais à la région Rhône Alpes, et lâche "le jour où vous apporterez du contenu à la Région, ça se saura".
La couleur des cieux serait-elle en train de changer au-dessus de la tête du nouveau conseil régional. De l'arc-en-ciel souhaité par Jean-Jack Queyranne, c'est plutôt des éclairs qu'on entend venir au loin, de là à ce que la tempête s'installe vraiment, il n'y a qu'un pas.
Libération n'aime que la gauche de la gauche
A en lire l'article de Libération aujourd'hui, sur la position de Pascal Terrasse sur la retraite, il semblerait qu'après vérification, il est bien dit qu'il était pour le maintien de la retraite à 62 ans voire 65 pour une retraite à taux plein. Avec sa bonhomie qu'on lui connaît il aurait même dit à un colloque sur la retraite : "il y a ce que les gens ont compris, ce que dit le PS et ce que l'on fera".
Reste à savoir ce que les gens et le PS feront de lui après ces primaires ?
L'intégralité de l'article sur : http://www.liberation.fr/politiques/01012365513-le-conseiller-retraites-de-hollande-ne-pense-pas-revenir-sur-l-age-legal-a-62-ans
A en lire l'article de Libération aujourd'hui, sur la position de Pascal Terrasse sur la retraite, il semblerait qu'après vérification, il est bien dit qu'il était pour le maintien de la retraite à 62 ans voire 65 pour une retraite à taux plein. Avec sa bonhomie qu'on lui connaît il aurait même dit à un colloque sur la retraite : "il y a ce que les gens ont compris, ce que dit le PS et ce que l'on fera".
Reste à savoir ce que les gens et le PS feront de lui après ces primaires ?
L'intégralité de l'article sur : http://www.liberation.fr/politiques/01012365513-le-conseiller-retraites-de-hollande-ne-pense-pas-revenir-sur-l-age-legal-a-62-ans
jeudi 13 octobre 2011
Pascal Terrasse interpellé
Si le débat hier soir entre Martine Aubry et François Hollande n'a pas apporté de surprises en revanche il en est un qui ne devait pas s'attendre à être pris en direct à partie c'est Pascal Terrasse. La patronne du PS était venue avec ses petites fiches et patatraque, dans son chapeau la question de la retraite est sortie. Et d'attaquer le spécialiste de la question au sein du PS, version Hollande, le député Pascal Terrasse en l'accusant de vouloir la retraite à 65 ans. Branle-bas de de combat au sein de son entourage, tout le monde et lui en tête crient au scandale. Sur son compte twitter, il s'inscrit immédiatement en faux : "Martine Aubry raconte des histoires. Elle confond âge légal de la retraite à taux plein et borne d'âge". Si pour le commun des mortels, cela n'a pas beaucoup d'importance, dans le landerneau c'était chaud bouillant hier soir.
Rien évidemment ne sera dit au nom de la sacro sainte "entente" avant le second tour. Mais comment imaginer qu'entre le pro Hollande, Pascal Terrasse et le pro Aubry, Olivier Dussopt, un tel couac ne laisse pas des traces ? Le petit frère s'affranchirait-il enfin du grand frère ? Quant au cadet, Hervé Saulignac, il semblerait qu'il soit gentiment malmené par son aîné, qui le balance dans le quotidien local, en soufflant qu'il a donné son parrainage à Arnaud Montebourg pour qu'il puisse se présenter aux primaires.
Il a oublié de dire que lui c'est à Ségolène Royal qu'il l'a donné. Quant à Olivier Dussopt, reconnaissons-lui au moins sa fidélité à son candidat depuis le début.
Si le débat hier soir entre Martine Aubry et François Hollande n'a pas apporté de surprises en revanche il en est un qui ne devait pas s'attendre à être pris en direct à partie c'est Pascal Terrasse. La patronne du PS était venue avec ses petites fiches et patatraque, dans son chapeau la question de la retraite est sortie. Et d'attaquer le spécialiste de la question au sein du PS, version Hollande, le député Pascal Terrasse en l'accusant de vouloir la retraite à 65 ans. Branle-bas de de combat au sein de son entourage, tout le monde et lui en tête crient au scandale. Sur son compte twitter, il s'inscrit immédiatement en faux : "Martine Aubry raconte des histoires. Elle confond âge légal de la retraite à taux plein et borne d'âge". Si pour le commun des mortels, cela n'a pas beaucoup d'importance, dans le landerneau c'était chaud bouillant hier soir.
Rien évidemment ne sera dit au nom de la sacro sainte "entente" avant le second tour. Mais comment imaginer qu'entre le pro Hollande, Pascal Terrasse et le pro Aubry, Olivier Dussopt, un tel couac ne laisse pas des traces ? Le petit frère s'affranchirait-il enfin du grand frère ? Quant au cadet, Hervé Saulignac, il semblerait qu'il soit gentiment malmené par son aîné, qui le balance dans le quotidien local, en soufflant qu'il a donné son parrainage à Arnaud Montebourg pour qu'il puisse se présenter aux primaires.
Il a oublié de dire que lui c'est à Ségolène Royal qu'il l'a donné. Quant à Olivier Dussopt, reconnaissons-lui au moins sa fidélité à son candidat depuis le début.
lundi 10 octobre 2011
Olivier Peverelli "super content"
Le mandataire de Manuel Valls en Ardèche, le conseiller général de Viviers, Olivier Peverelli, se dit "super content du résultat de son candidat. Les primaires sont avant tout une réussite. On s'attendait à ce score là. Ce qui n'était pas prévu c'est le score de Montebourg. Je me pose la question de ce qui'l y a derrière le terme mondialisation ? Ça m'inquiète quand on parle de mettre sous tutelle les banques. C'est un concept où je ne vois pas ce qu'on peut mettre dedans.A mon avis, c'est la situation économique qui fait peur aux gens qui explique ce vote là. Pour moi c'est tout le contraire qu'il faut faire, il faut démultiplier les coopération.
Pour ma part je souhaitais voter Valls pour amener de la diversité, pour ne pas qu'on soit qu'entre nous. S'il n'y avait eu que deux candidats, il n'y aurait pas eu 2,5 millions d'habitants".
Il n'y aura qu'à compter dimanche prochain !
Le mandataire de Manuel Valls en Ardèche, le conseiller général de Viviers, Olivier Peverelli, se dit "super content du résultat de son candidat. Les primaires sont avant tout une réussite. On s'attendait à ce score là. Ce qui n'était pas prévu c'est le score de Montebourg. Je me pose la question de ce qui'l y a derrière le terme mondialisation ? Ça m'inquiète quand on parle de mettre sous tutelle les banques. C'est un concept où je ne vois pas ce qu'on peut mettre dedans.A mon avis, c'est la situation économique qui fait peur aux gens qui explique ce vote là. Pour moi c'est tout le contraire qu'il faut faire, il faut démultiplier les coopération.
Pour ma part je souhaitais voter Valls pour amener de la diversité, pour ne pas qu'on soit qu'entre nous. S'il n'y avait eu que deux candidats, il n'y aurait pas eu 2,5 millions d'habitants".
Il n'y aura qu'à compter dimanche prochain !
L'opposition départementale sur Internet
Mieux vaut tard que jamais, le groupe d'opposition départementale, Ardèche Avenir, lance un site Internet : www.ardehe-avenir.fr à travers lequel les élus veulent faire entendre un autre son de cloche que celui de la majorité. "Un espace à nous, car ce n'est pas avec ce que nous réserve la revue Relief que nous pouvons nous exprimer" commente Jacques Dubay. Il y a même une rubrique Carton rouge. Cette semaine on y trouve la voiture du président du Département qui attend gentiment dans le garage de l'Hôtel du Conseil général d'être vendue.
Mieux vaut tard que jamais, le groupe d'opposition départementale, Ardèche Avenir, lance un site Internet : www.ardehe-avenir.fr à travers lequel les élus veulent faire entendre un autre son de cloche que celui de la majorité. "Un espace à nous, car ce n'est pas avec ce que nous réserve la revue Relief que nous pouvons nous exprimer" commente Jacques Dubay. Il y a même une rubrique Carton rouge. Cette semaine on y trouve la voiture du président du Département qui attend gentiment dans le garage de l'Hôtel du Conseil général d'être vendue.
Jacques Dubay, Hervé Saulignac, je t'aime...
C'est incroyable le désamour qui existe entre ces deux élus. Le vice-président du conseil général, Hervé Saulignac et Jacques Dubay, chef de file d'opposition ne peuvent pas se parler sans s'invectiver. Et plus le temps passe et plus l'animosité augmente. Aujourd'hui encore, en assemblée plénière, les petites phrases assassines ont fusé de part et d'autre. Quand Jacques Dubay traite la majorité d'irresponsable en voulant créer une régie de transport, le socialiste Hervé Saulignac répond que ce n'est pas parce que le conseiller général de Saint-Péray habite la vallée du Rhône, que les autres n'ont pas besoin de transport public. Le ping-pong se poursuit quand Jacques Dubay fait remarquer que lorsqu'il parle, il le fait de manière général et non pas seulement pour son canton, en déployant son revers : "il n'y a pas que Saint-Péray dans le département, quand je parle je parle pour tout le département. Je veux bien que ce ne soit pas le cas du conseiller général de Privas (Hervé Saulignac) qui nombrilise".
Si pendant longtemps, Jacques Dubay, s'est contenu, il semblerait que ce temps-là soit révolu. En ce qui concerne, Hervé Saulignac, qui a dû beaucoup apprendre de ses pairs, il n'est jamais à cours de répartie. Mais si d'autres arrivent à le faire avec un brin d'humour, lui en est totalement dépourvu.
Celui qui se prépare à prendre la relève après Pascal Terrasse en 2012, aura beaucoup plus de mal à fédérer autour de lui que ne peut le faire aujourd'hui, le député conseiller général de Bourg-Saint-Andéol. A moins que ce dernier se décide à lui donner des cours intensifs.
C'est incroyable le désamour qui existe entre ces deux élus. Le vice-président du conseil général, Hervé Saulignac et Jacques Dubay, chef de file d'opposition ne peuvent pas se parler sans s'invectiver. Et plus le temps passe et plus l'animosité augmente. Aujourd'hui encore, en assemblée plénière, les petites phrases assassines ont fusé de part et d'autre. Quand Jacques Dubay traite la majorité d'irresponsable en voulant créer une régie de transport, le socialiste Hervé Saulignac répond que ce n'est pas parce que le conseiller général de Saint-Péray habite la vallée du Rhône, que les autres n'ont pas besoin de transport public. Le ping-pong se poursuit quand Jacques Dubay fait remarquer que lorsqu'il parle, il le fait de manière général et non pas seulement pour son canton, en déployant son revers : "il n'y a pas que Saint-Péray dans le département, quand je parle je parle pour tout le département. Je veux bien que ce ne soit pas le cas du conseiller général de Privas (Hervé Saulignac) qui nombrilise".
Si pendant longtemps, Jacques Dubay, s'est contenu, il semblerait que ce temps-là soit révolu. En ce qui concerne, Hervé Saulignac, qui a dû beaucoup apprendre de ses pairs, il n'est jamais à cours de répartie. Mais si d'autres arrivent à le faire avec un brin d'humour, lui en est totalement dépourvu.
Celui qui se prépare à prendre la relève après Pascal Terrasse en 2012, aura beaucoup plus de mal à fédérer autour de lui que ne peut le faire aujourd'hui, le député conseiller général de Bourg-Saint-Andéol. A moins que ce dernier se décide à lui donner des cours intensifs.
On peut craindre le clivage
Au Conseil général ce matin, les élus de gauche avaient surtout en tête les résultats des primaires PS. La preuve en est c'est qu'au moment du déjeuner, le président du Département, Pascal Terrasse n'a parlé que de ça. Soutien de François Hollande, il s'est dit évidemment content du résultat de son poulain mais inquiet quant au second tour. "Si jamais les deux candidats font 51 - 49 ça va être difficile de ne pas sentir le clivage. Ça pourrait faire le bonheur de la droite comme en 2007". Pas de pitié pour les larmes de Ségolène Royal alors que tous autour de la table, Pascal Terrasse, Hervé Saulignac ou encore Gyl Breysse étaient des plus fervents supporters en 2007. Pour ce dernier c'est clair en Ardèche elle a perdu tous ses soutiens de Désir d'avenir. Beaucoup ont rejoint le camp Hollande concède-t-il. On passe sous silence, le fait que Pascal Terrasse lui a accordé sa signature pour sa candidature. Hervé Saulignac, l'ayant quant à lui donnée à... Arnaud Montebourg. La politique a ses raisons que la raison ignore.
Pour Pascal Terrasse, "les voix Hollande ont été prises dans les villes moyennes, péri-urbaines ou encore dans les communes rurales. Le vote Aubry est un vote bobo des grandes villes qui s'intéresse davantage aux questions sociétales comme le mariage homosexuel."
Aujourd'hui, le numéro 1 et 2 du Département se posent en soutien de la première heure et Pascal Terrasse se met même à rêver à voix haute de maroquin. Mais de prévenir "on nous a dit que pour être ministre, il faudra être irréprochable et n'avoir ni maîtresse ni histoire d'argent cachés dans un tiroir".
Pour les reports de voix, seules celles d'Arnaud Montebourg leur posent question. Un tiers partirait dans la nature, la moitié sur Aubry et le reste sur Hollande, parce qu'Aubry semble être plus à gauche qu'Hollande.
Mais le soutien de DSK à Aubry, trouble un peu le jeu. Car on ne peut pas taxer DSK d'être la branche la plus à gauche du PS !
Pour le président du Conseil général, il y aura moins de votants au deuxième tour, parce qu'il y aura moins de candidats. De nouveaux électeurs viendront car le choix est clarifié aujourd'hui. Mais d'autres ne viendront pas car ils ne se reconnaîtront pas dans les deux candidats.
Reste à savoir ce que feront Pascal Terrasse et Hervé Saulignac en cas de victoire de Martine Aubry.
Sauront-ils faire profil bas ou s'improviseront-ils les Jack Lang ardéchois. La réponse dans quelques jours.
Annonay logiquement Aubryste
Le porte-parole national de Martine Aubry, le député maire d'Annonay, Olivier Dussopt, peut se rassurer, dans sa ville, les socialistes ont suivi ses consignes de vote. Avec deux bureaux :
Annonay 1 : 585 votants, 38,25% Aubry ; 31,73% Hollande ; 5,83% Royal ; 17,32% Montebourg ; 6,52% Valls ; 0,34% Baylet ; 0,34% nul.
Annonay 2 : 263 votants, 45,35% Aubry ; 25,97% Hollande ; 3,49% Royal ; 22,87% Montebourg ; 2,33% Valls ; 0% Baylet ; 1,14% nul.
Dans d'autres communes comme Preaux ou Saint-Jean-de-Muzols, la candidate, patronne du PS a également eu les faveurs de cet électorat.
En revanche, c'est François Hollande qui fait le plein de voix dans le département avec presque 37% devançant de 8 points, Martine Aubry et de 15 points Arnaud Montebourg.
Dans la circonscription du député, François Hollande arrive en tête devant Martine Aubry notamment dans le canton de Lamastre, Saint-Félicien ou encore Saint-Péray ou Saint-Agrève.
La participation au rendez-vous
21 345 votants pour la Drôme, 15 258 en Ardèche. C'est deux fois et demi de plus que ce que les fédérations départementales avaient prévu. De ce point de vue là, les résultats ont satisfait tous les comités de soutien des six candidats. Là où ça blesse davantage c'est sur la répartition des votes. François Hollande arrive en tête dans les deux départements dans des proportions quasi identiques (37,43% dans la Drôme, 37,13% dans l'Ardèche). Martine Aubry est arrivée en tête dans la ville de son porte parole national, Olivier Dussopt à Annonay donc (340 voix pour Martine Aubry contre 252 pour François Hollande et 160 pour Arnaud Montebourg) mais dans la ville de Valence, où son maire, Alain Maurice s'était prononcée en sa faveur, cela ne semble pas avoir été suivi dans les urnes par les militants (992 voix pour Hollande contre 822 pour Aubry). Pour autant, Arnaud Montebourg qui fait de bons scores des deux côtés du Rhône pourrait bien favoriser l'outsider avec son report de voix qui semble acquis à la patronne du PS (21,25 % dans la Drôme, 22,23% dans l'Ardèche). La grande perdante c'est Ségolène Royal qui doit payer la défaite du PS en 2007. Portée pourtant par l'Ardèche, celle-ci semble lui avoir définitivement tourné le dos avec 6,32% des voix. Dans la Drôme, les militants sont moins rancuniers et lui accordent encore une certaine confiance avec 16,80% des voix. Enfin Manuel Valls fait quasi jeu égal avec 5,50% dans la Drôme et 4,92% dans l'Ardèche. Enfin l'expression des radicaux de gauche s'est réduite à peau de chagrin d'un côté et de l'autre du Rhône, 0,40% rive gauche et 0,45% rive droite.
Le deuxième tour s'annonce tendu pour les candidats qui vont rester en lice pour obtenir les reports de voix. Si Manuel Valls a déjà annoncé son intention de vote pour le deuxième tour en choisissant François Hollande reste à savoir ce que va faire Arnaud Montebourg le troisième "homme" de son "trésor de voix". Mais les électeurs de Ségolène Royal vont aussi peser sur les négociations internes. Cette semaine va donc être intéressante à suivre au niveau des tractations.
21 345 votants pour la Drôme, 15 258 en Ardèche. C'est deux fois et demi de plus que ce que les fédérations départementales avaient prévu. De ce point de vue là, les résultats ont satisfait tous les comités de soutien des six candidats. Là où ça blesse davantage c'est sur la répartition des votes. François Hollande arrive en tête dans les deux départements dans des proportions quasi identiques (37,43% dans la Drôme, 37,13% dans l'Ardèche). Martine Aubry est arrivée en tête dans la ville de son porte parole national, Olivier Dussopt à Annonay donc (340 voix pour Martine Aubry contre 252 pour François Hollande et 160 pour Arnaud Montebourg) mais dans la ville de Valence, où son maire, Alain Maurice s'était prononcée en sa faveur, cela ne semble pas avoir été suivi dans les urnes par les militants (992 voix pour Hollande contre 822 pour Aubry). Pour autant, Arnaud Montebourg qui fait de bons scores des deux côtés du Rhône pourrait bien favoriser l'outsider avec son report de voix qui semble acquis à la patronne du PS (21,25 % dans la Drôme, 22,23% dans l'Ardèche). La grande perdante c'est Ségolène Royal qui doit payer la défaite du PS en 2007. Portée pourtant par l'Ardèche, celle-ci semble lui avoir définitivement tourné le dos avec 6,32% des voix. Dans la Drôme, les militants sont moins rancuniers et lui accordent encore une certaine confiance avec 16,80% des voix. Enfin Manuel Valls fait quasi jeu égal avec 5,50% dans la Drôme et 4,92% dans l'Ardèche. Enfin l'expression des radicaux de gauche s'est réduite à peau de chagrin d'un côté et de l'autre du Rhône, 0,40% rive gauche et 0,45% rive droite.
Le deuxième tour s'annonce tendu pour les candidats qui vont rester en lice pour obtenir les reports de voix. Si Manuel Valls a déjà annoncé son intention de vote pour le deuxième tour en choisissant François Hollande reste à savoir ce que va faire Arnaud Montebourg le troisième "homme" de son "trésor de voix". Mais les électeurs de Ségolène Royal vont aussi peser sur les négociations internes. Cette semaine va donc être intéressante à suivre au niveau des tractations.
samedi 8 octobre 2011
H24
Dernière ligne droite pour le premier tour des primaires. Demain en fin de journée, les urnes pourront parler. Dans l'Ardèche une soixantaine de bureaux seront ouverts, dans la Drôme 15 de plus. Côté rive droite du Rhône, la fédération du parti socialiste attend 6000 votants, un peu plus côté drômois, autour de 8000. Les fameux kit de vote envoyés par le PS au niveau national est enfin arrivé avec le stylo magique qui permettra de comptabiliser les votes très rapidement. A Privas, après la récupération des résultats au siège de la fédération, une soirée est prévue au champ de mars avec les militants. Dans la Drôme, c'est à la fédération de Valence que tout sera centralisé. Les listes électorales seront confiées à un huissier après le vote dans la Drôme et enfermées à double tour à la fédération de Privas. Jusqu'au second tour (qui ne semble plus être remis en cause du coup). Les soutiens aux six candidats se sont montrés actifs tout au long de la semaine, redoublant de réunions pour faire peser la balance en faveur de leur poulain. Si François Hollande semble avoir gagné ses points de favori, il faut toutefois se méfier des élections. Un militant socialiste hésitait encore l'autre jour entre le vote de raison et le vote utile. A ce jeu là, qui va gagner ?
Retrouvez-moi sur Twitter pour des résultats en direct demain soir : 07marianne
Dernière ligne droite pour le premier tour des primaires. Demain en fin de journée, les urnes pourront parler. Dans l'Ardèche une soixantaine de bureaux seront ouverts, dans la Drôme 15 de plus. Côté rive droite du Rhône, la fédération du parti socialiste attend 6000 votants, un peu plus côté drômois, autour de 8000. Les fameux kit de vote envoyés par le PS au niveau national est enfin arrivé avec le stylo magique qui permettra de comptabiliser les votes très rapidement. A Privas, après la récupération des résultats au siège de la fédération, une soirée est prévue au champ de mars avec les militants. Dans la Drôme, c'est à la fédération de Valence que tout sera centralisé. Les listes électorales seront confiées à un huissier après le vote dans la Drôme et enfermées à double tour à la fédération de Privas. Jusqu'au second tour (qui ne semble plus être remis en cause du coup). Les soutiens aux six candidats se sont montrés actifs tout au long de la semaine, redoublant de réunions pour faire peser la balance en faveur de leur poulain. Si François Hollande semble avoir gagné ses points de favori, il faut toutefois se méfier des élections. Un militant socialiste hésitait encore l'autre jour entre le vote de raison et le vote utile. A ce jeu là, qui va gagner ?
Retrouvez-moi sur Twitter pour des résultats en direct demain soir : 07marianne
jeudi 6 octobre 2011
Du monde au congrès des maires de la Drôme
320 maires sur 369, on peut dire que le congrès des maires de la Drôme aujourd'hui, à Bourg-de-Péage, a remporté un vif succès. Est-ce parce qu'ils pensaient qu'ils y verraient le nouveau vice-président du Sénat, Didier Guillaume, ou parce que le thème de l'économie les intéressait vraiment. Pour ce qui est de Didier Guillaume, c'était raté, puisqu'il était retenu à Paris par ses nouvelles fonctions. Pour le thème de l'économie, les explications des services de l'Etat n'ont pas eu l'air de faire mouche au vu des questions virulentes dans la salle. Les élus drômois ne sont pas farouches et ne s'encombrent pas de protocole. Ils appellent un chat, un chat. Du coup les réponses étaient un peu moins langue de bois que d'habitude. C'était un peu oeil pour oeil et dent pour dent. Le sous-préfet de Die en a presque perdu son sang froid. Et la réponse faite en a désarmé plus d'un dans la salle "Il y a 1700 milliards d'euros de dette à régler en France, il est normal que la Dotation globale de fonctionnement soit gelée", autrement dit, l'Etat ne versera pas un centime de plus aux collectivités. Les maires n'aiment pas quand on leur parle comme ça...
C'était punchy !
320 maires sur 369, on peut dire que le congrès des maires de la Drôme aujourd'hui, à Bourg-de-Péage, a remporté un vif succès. Est-ce parce qu'ils pensaient qu'ils y verraient le nouveau vice-président du Sénat, Didier Guillaume, ou parce que le thème de l'économie les intéressait vraiment. Pour ce qui est de Didier Guillaume, c'était raté, puisqu'il était retenu à Paris par ses nouvelles fonctions. Pour le thème de l'économie, les explications des services de l'Etat n'ont pas eu l'air de faire mouche au vu des questions virulentes dans la salle. Les élus drômois ne sont pas farouches et ne s'encombrent pas de protocole. Ils appellent un chat, un chat. Du coup les réponses étaient un peu moins langue de bois que d'habitude. C'était un peu oeil pour oeil et dent pour dent. Le sous-préfet de Die en a presque perdu son sang froid. Et la réponse faite en a désarmé plus d'un dans la salle "Il y a 1700 milliards d'euros de dette à régler en France, il est normal que la Dotation globale de fonctionnement soit gelée", autrement dit, l'Etat ne versera pas un centime de plus aux collectivités. Les maires n'aiment pas quand on leur parle comme ça...
C'était punchy !
Pascal Terrasse sera sur la photo
C'est bien connu on voit la paille dans l'oeil de son voisin, et pas la poutre dans le sien ! Quand Pascal Terrasse crache sur le soutien versatile de Jack Lang, on peut lire ça dans sa bouche sur le site Rue 89 : « Les gens qui seront sur la photo à la fin de l'histoire, c'est ceux qui se seront mobilisés durant les trois derniers mois de campagne présidentielle. Il n'y a jamais de prime aux premiers engagés ».
Le même qui soutient Ségolène Royal d'un côté, dit son amitié à Arnaud Montebourg et soutient François Hollande depuis au moins... trois semaines !
C'est bien connu on voit la paille dans l'oeil de son voisin, et pas la poutre dans le sien ! Quand Pascal Terrasse crache sur le soutien versatile de Jack Lang, on peut lire ça dans sa bouche sur le site Rue 89 : « Les gens qui seront sur la photo à la fin de l'histoire, c'est ceux qui se seront mobilisés durant les trois derniers mois de campagne présidentielle. Il n'y a jamais de prime aux premiers engagés ».
Le même qui soutient Ségolène Royal d'un côté, dit son amitié à Arnaud Montebourg et soutient François Hollande depuis au moins... trois semaines !
mercredi 5 octobre 2011
Le député maire de Montélimar esseulé ?
Décidément cette semaine n'aura pas été tendre avec le député maire de Montélimar, Franck Reynier. Membre du Parti radical valoisien, il a dès le départ suivi Jean-Louis Borloo quand il a laissé entendre qu'il pourrait être candidat à la présidentielle. Le même Jean-Louis Borloo, qui lorsqu'il était ministre du développement durable avait signé les permis de recherche de gaz de schiste dont celui de Montélimar. Ces mêmes permis qui viennent d'être abrogés par la ministre de l'écologie, NKM. Et dans le même temps, Jean-Louis Borloo, annonce qu'il n'ira pas se battre pour l'Elysée. Sale temps pour le jeune quadra montilien.
Décidément cette semaine n'aura pas été tendre avec le député maire de Montélimar, Franck Reynier. Membre du Parti radical valoisien, il a dès le départ suivi Jean-Louis Borloo quand il a laissé entendre qu'il pourrait être candidat à la présidentielle. Le même Jean-Louis Borloo, qui lorsqu'il était ministre du développement durable avait signé les permis de recherche de gaz de schiste dont celui de Montélimar. Ces mêmes permis qui viennent d'être abrogés par la ministre de l'écologie, NKM. Et dans le même temps, Jean-Louis Borloo, annonce qu'il n'ira pas se battre pour l'Elysée. Sale temps pour le jeune quadra montilien.
L'AERF est née
L'association des élus des Régions de France (AERF à distinguer de l'ARF) est née de la volonté des élus d'opposition régionaux à avoir aussi un espace d'expression. La quasi totalité des régions étant aux mains des socialistes, pour ne pas dire toutes, sauf la région Alsace, les élus de la majorité présidentielle et du centre ont décidé de se réunir dans une association. Ils veulent ainsi porter "un message clair sur une vision de la région comme collectivité d'avenir ; dire comment ils entendent les gérer et aussi dénoncer les abus de la gestion de certains exécutifs". C'est Hervé Novelli, qui en est le président et le seul président de région de droite, Philippe Richert, président de la région Alsace en est le président fondateur. Valérie Pécresse en est la secrétaire générale. Aujourd'hui, les élus régionaux de toute la France (17 de la région Rhône-Alpes emmenés par leur chef de fil, Françoise Grossetête) avaient fait le déplacement à Paris pour le lancement officiel de leur association.
L'association des élus des Régions de France (AERF à distinguer de l'ARF) est née de la volonté des élus d'opposition régionaux à avoir aussi un espace d'expression. La quasi totalité des régions étant aux mains des socialistes, pour ne pas dire toutes, sauf la région Alsace, les élus de la majorité présidentielle et du centre ont décidé de se réunir dans une association. Ils veulent ainsi porter "un message clair sur une vision de la région comme collectivité d'avenir ; dire comment ils entendent les gérer et aussi dénoncer les abus de la gestion de certains exécutifs". C'est Hervé Novelli, qui en est le président et le seul président de région de droite, Philippe Richert, président de la région Alsace en est le président fondateur. Valérie Pécresse en est la secrétaire générale. Aujourd'hui, les élus régionaux de toute la France (17 de la région Rhône-Alpes emmenés par leur chef de fil, Françoise Grossetête) avaient fait le déplacement à Paris pour le lancement officiel de leur association.
Didier Guillaume, 1er VP
C'est donc confirmé le président du Conseil général, sénateur de la Drôme, Didier Guillaume a été élu 1er vice-président du Sénat aux côtés de son ami, Jean-Pierre Bel, nouveau président du palais du Luxembourg. Ce que beaucoup appellent déjà un binôme, tant cette victoire semble être la leur. Une bonne nouvelle pour la Drôme qui voit un de ses enfants associer son nom à la postérité.
C'est donc confirmé le président du Conseil général, sénateur de la Drôme, Didier Guillaume a été élu 1er vice-président du Sénat aux côtés de son ami, Jean-Pierre Bel, nouveau président du palais du Luxembourg. Ce que beaucoup appellent déjà un binôme, tant cette victoire semble être la leur. Une bonne nouvelle pour la Drôme qui voit un de ses enfants associer son nom à la postérité.
mardi 4 octobre 2011
Trois fois plus
Si ils étaient une cinquantaine hier au meeting en faveur de Martine Aubry à Privas, ils sont trois fois plus ce soir pour soutenir François Hollande. Est ce que cela vient de la participation des intervenants. Le maire de Lyon n'a pas hésité ce soir à venir s'exprimer dans la ville préfecture de l'Ardèche, alors même que François Hollande tient meeting à Grenoble ce soir.
Le rapport de un à trois serait-il lui aussi un indicateur dans les sondages. Réponse dimanche pour le premier et peut-être unique tour des primaires socialistes ?
Si ils étaient une cinquantaine hier au meeting en faveur de Martine Aubry à Privas, ils sont trois fois plus ce soir pour soutenir François Hollande. Est ce que cela vient de la participation des intervenants. Le maire de Lyon n'a pas hésité ce soir à venir s'exprimer dans la ville préfecture de l'Ardèche, alors même que François Hollande tient meeting à Grenoble ce soir.
Le rapport de un à trois serait-il lui aussi un indicateur dans les sondages. Réponse dimanche pour le premier et peut-être unique tour des primaires socialistes ?
Le gouvernement soutient les salariés de GPV
Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a dit aujourd'hui au moment des questions au gouvernement à l'Assemblée nationale, qu'il serait demandé aux actionnaires d'abonder l'enveloppe dédiée à la prime supra légale en plus du financement du plan social. Une bonne nouvelle pour les salariés qui vivent des moments de grande tension ces dernières heures. Après être montés aujourd'hui au siège du Crédit mutuel et avoir exigé d'être reçu par la direction, ils annoncent clairement leur intention de tout brûler si aucune de leurs revendications n'était satisfaite. L'émotion est en train de prendre le pas sur la raison.
Didier Guillaume vice-président du Sénat ?
C'est en tout cas lui qui sera désigné à la candidature demain après-midi au palais du Luxembourg. Une bonne nouvelle pour le département de la Drôme dont il est président du conseil général. Gauche, droite confondues, il est toujours bon pour un territoire de compter sur des hommes politiques de renommée.
C'est ce qui manque à l'Ardèche aujourd'hui !
C'est en tout cas lui qui sera désigné à la candidature demain après-midi au palais du Luxembourg. Une bonne nouvelle pour le département de la Drôme dont il est président du conseil général. Gauche, droite confondues, il est toujours bon pour un territoire de compter sur des hommes politiques de renommée.
C'est ce qui manque à l'Ardèche aujourd'hui !
lundi 3 octobre 2011
Un meeting pour Martine Aubry sans Olivier Dussopt
A Privas ce soir, il y avait un meeting de soutien pour Martine Aubry mais sans son porte parole national Olivier Dussopt. Surprenant de la part de ce jeune Ardéchois qui vit à quelques dizaines de kilomètres de là ? La raison donnée : les salariés de GPV à Davézieux avaient besoin de lui. Ce qui est sans doute vrai, mais la demande ne date pas d'aujourd'hui (lire plus bas, l'article consacré aux GPV). A moins que ce soit effectivement la lecture de ce blog et l'absence d'élus vendredi à la sous préfecture de Tournon qui aient donné l'idée au jeune député socialiste de se rendre là "où je suis utile aux salariés, c'était le cas ce soir, d'où mon absence" a-t-il tenu à préciser pour justifier son absence.
Dont acte.
A Privas ce soir, il y avait un meeting de soutien pour Martine Aubry mais sans son porte parole national Olivier Dussopt. Surprenant de la part de ce jeune Ardéchois qui vit à quelques dizaines de kilomètres de là ? La raison donnée : les salariés de GPV à Davézieux avaient besoin de lui. Ce qui est sans doute vrai, mais la demande ne date pas d'aujourd'hui (lire plus bas, l'article consacré aux GPV). A moins que ce soit effectivement la lecture de ce blog et l'absence d'élus vendredi à la sous préfecture de Tournon qui aient donné l'idée au jeune député socialiste de se rendre là "où je suis utile aux salariés, c'était le cas ce soir, d'où mon absence" a-t-il tenu à préciser pour justifier son absence.
Dont acte.
Tout va très bien Mme la Marquise
Ce soir c'est réunion publique pour soutenir Martine Aubry à Privas à la salle Ouvèze de Privas, demain c'est une autre en faveur de François Hollande qui est prévue. Les Aubryste ont dégainé plus vite, et ça n'a pas plu aux Hollandais. Du coup sur les Facebook des militants de la section PS de Privas, les échanges sont beaucoup moins aimables qu'entre les six candidats aux Primaires PS. Quid de l'après primaire entre eux ? Il faudra regarder du côté des réseaux sociaux, ils mentent rarement. Il y en a même qui sont des habitués du dérapage non contrôlé.
Ce soir c'est réunion publique pour soutenir Martine Aubry à Privas à la salle Ouvèze de Privas, demain c'est une autre en faveur de François Hollande qui est prévue. Les Aubryste ont dégainé plus vite, et ça n'a pas plu aux Hollandais. Du coup sur les Facebook des militants de la section PS de Privas, les échanges sont beaucoup moins aimables qu'entre les six candidats aux Primaires PS. Quid de l'après primaire entre eux ? Il faudra regarder du côté des réseaux sociaux, ils mentent rarement. Il y en a même qui sont des habitués du dérapage non contrôlé.
dimanche 2 octobre 2011
Les radicaux de droite n'ont plus de candidat
Pour un non scoop c'est un non scoop ! Jean-Louis Borloo le patron du Parti radical valoisien n'ira finalement pas à la présidentielle. Ce qui aurait été étonnant, aurait été le contraire... En revanche, Hervé Morin doit se sentir libéré ce soir. Nul doute qu'il ira jusqu'au bout lui. Ce qu'on ne sait pas c'est ce que va devenir la confédération des centres. Après 2012 et les élections législatives, ils auront besoin de la jouer collectif s'ils veulent obtenir un groupe !
Fabrice Brun, le patron des radicaux en Ardèche n'avait pas suivi Jean-Louis Borloo et était resté avec les centristes qui avaient fait le choix de rester à l'UMP. Pour lui donc pas de "traumatisme".
Jacques Dubay, chef de file des Nouveau centristes dans le département, devra sans doute mener la campagne pour son parti à la présidentielle.
GPV le combat de la dernière chance
Les élus du nord Ardèche n'étaient pas nombreux vendredi soir au côté des salariés de GPV devant la sous préfecture de Tournon où se jouait leur dernier va-tout. Depuis 15 heures, ce jour-là, représentants des salariés et des actionnaires arbitrés par l'inspectrice du travail, Mme Corneloup et du sous-préfet de Tournon, Jean-Yves Le Merrer, essayaient de trouver une sortie de crise après l'annonce du rachat de la société et du licenciement de la quasi totalité des employés (240). La centaine de salariés qui attendaient dehors avaient décidé que personne ne bougerait de là tant qu'ils n'auraient rien obtenu. Ils réclamaient 30 000 euros d'indemnisation supra légale par personne. La ville noyée par des milliers d'enveloppes, les gendarmes faisaient aussi partie du paysage aux abords de la sous préfecture qui a l'inconvénient de donner sur la RD 86 directement. Autrement dit, la circulation s'est faite difficilement ce jour-là aux heures de pointe. Puis une fois que tout le monde est rentré chez eux, que la nuit s'est établie sur la ville sous préfecture alors sont restés les manifestants seuls. Les négociateurs à l'étage de la sous préfecture, les autres des deux côtés du bâtiment, bloquant les deux entrées. Les gendarmes toujours en observateur. Le maire de Tournon, Frédéric Sausset garant du bon ordre sur la voie publique était le seul élu présent. Ceux d'Annonay ou Davézieux n'étaient pas descendus épauler les salariés comme ceux-ci l'espéraient. Le "tous pourris" était de sorti. "Il y a des élections en ce moment on les voit s'exprimer dans la presse sur nous mais à nous on nous demande rien. On ne l'a pas vu le maire d'Annonay, ni les autres d'ailleurs. Le seul qu'on ait vu c'est Denis Lacombe (conseiller général d'Annonay nord) de loin en train de jeter notre tract à la poubelle !". Hommes, femmes pour la plupart entre la quarantaine et la cinquantaine, un sourire de façade, un dernier baroud d'honneur en sachant que demain c'est Pôle Emploi qui les attend. "On s'en fout de nous. Une entreprise en moins dans l'indifférence c'est le lot quotidien mais il faut bien voir que c'est du pouvoir d'achat en moins. 240 personnes au chômage, c'est 240 familles qui consomment moins, ça va impacter tout le secteur, déjà qu'il ne va pas bien !".
Un journaliste de la radio est à leur côté, il les a suivis toute la journée. A minuit et demi, quand excédé le sous-préfet a déclaré qu'i fallait signer un accord maintenant sinon ce serait rien à la clé, alors la clameur est montée dans les petites rues de Tournon. Les gendarmes ont joué des coudes. Les représentants des actionnaires sont sortis sous bonne escorte mais sous les insultes. Un accord qui ne donne pas satisfaction, mais parait-il que c'est mieux que rien ! Les salariés dépités, s'en retournent sur Davézieux, ils ne savent plus vers qu'elle saint se vouer ! Mais faut-il vraiment en chercher un dans le monde de l'économie aujourd'hui ?
Didier Guillaume président du groupe PS au Sénat ?
On le sait très proche du tout nouveau président du Sénat, Jean-Pierre Bel, le sénateur- président du conseil général Didier Guillaume, ne cache pas sa possible nomination au Palais du Luxembourg à un siège éminent. Président du groupe PS comme beaucoup le pense, ou sûrement président d'une commission au Sénat comme cela semble se jouer. Ce qui est sûr c'est qu'il aura à jouer un rôle important dans les prochains jours. Pro Hollande depuis le début, il semblerait qu'il ait misé sur les bons pions en ce moment pour son avenir politique. Une bonne chose en soi pour son Département.
Dans le département voisin, l'Ardèche, nul doute que Pascal Terrasse va très vite revendiquer son amitié à Didier Guillaume. On ne sait jamais pour lui en ces temps troubles. Mieux vaudrait parier pour une fois sur le bon cheval, après Ségolène Royal (présidentielle), Vincent Peillon (européennes)...
Le congrès des maires ne fait plus recette
Samedi, à la salle des fêtes de La Voulte se tenait le traditionnel congrès des maires avec assemblée générale et table ronde au menu. Mais depuis que la réforme des collectivités est apparue dans le champ politique, le congrès semble avoir pris le parti d'en faire son sujet de prédilection. Et sans présumer de ce qui se passe dans la tête des maires, ils ont préféré occuper leur temps à autre chose ce jour-là, (le match France Tonga par exemple) plutôt que de venir écouter une énième fois à quelle sauce ils allaient être mangés par la réforme.
A peine une centaine de maires (sur 339) ont donc fait le déplacement. Parmi les absents, les deux sénateurs bien sûr pour cause d'élection le jour-même de leur nouveau président. Mais également le seul parlementaire de droite, Jean-Claude Flory, trop pris par ses obligations sur la 3e circonscription. Sabine Buis devait répondre aux mêmes exigences puisque la candidate aux élections législatives face au député maire de Vals-les-Bains, n'était également pas là.
Tous les maires de droite des grandes communes de l'Ardèche étaient également aux abonnés absents, Jean-Roger Durand (Largentière), Jean-Paul Vallon (Lamastre), Jacques Chabal (Le Cheylard), Jean-Paul Chauvin (Saint-Félicien), Frédéric Sausset (Tournon).
Seuls Mathieu Darnaud et Jean-Pierre Constant (Guiherand-Granges et Aubenas) étaient là.
Le conseiller général et maire d'Alboussière, chef de file de l'opposition Jacques Dubay n'ayant fait qu'un sot de puce en début de matinée.
Quant à Jacques Genest, le conseiller général maire de Coucouron, président des maires ruraux, on a du mal encore à penser qu'il est de droite, tant sa diatribe à l'encontre de la réforme était virulente. Ce qui faisait évidemment le bonheur de Pascal Terrasse, qui comme à son habitude, en a fait des tonnes, une fois sur l'estrade.
Olivier Dussopt quant à lui, a notifié sa présence en posant une question aux intervenants, que seuls auront compris les plus aguerris au langage administratif.
Un congrès des maires pas très passionnant, auquel aura échappé au moins une personne parfaitement excusée elle, le nouveau préfet de l'Ardèche, Dominique Lacroix, qui ne prendra officiellement ses fonctions que demain, lundi 3 octobre. Veinard !
Samedi, à la salle des fêtes de La Voulte se tenait le traditionnel congrès des maires avec assemblée générale et table ronde au menu. Mais depuis que la réforme des collectivités est apparue dans le champ politique, le congrès semble avoir pris le parti d'en faire son sujet de prédilection. Et sans présumer de ce qui se passe dans la tête des maires, ils ont préféré occuper leur temps à autre chose ce jour-là, (le match France Tonga par exemple) plutôt que de venir écouter une énième fois à quelle sauce ils allaient être mangés par la réforme.
A peine une centaine de maires (sur 339) ont donc fait le déplacement. Parmi les absents, les deux sénateurs bien sûr pour cause d'élection le jour-même de leur nouveau président. Mais également le seul parlementaire de droite, Jean-Claude Flory, trop pris par ses obligations sur la 3e circonscription. Sabine Buis devait répondre aux mêmes exigences puisque la candidate aux élections législatives face au député maire de Vals-les-Bains, n'était également pas là.
Tous les maires de droite des grandes communes de l'Ardèche étaient également aux abonnés absents, Jean-Roger Durand (Largentière), Jean-Paul Vallon (Lamastre), Jacques Chabal (Le Cheylard), Jean-Paul Chauvin (Saint-Félicien), Frédéric Sausset (Tournon).
Seuls Mathieu Darnaud et Jean-Pierre Constant (Guiherand-Granges et Aubenas) étaient là.
Le conseiller général et maire d'Alboussière, chef de file de l'opposition Jacques Dubay n'ayant fait qu'un sot de puce en début de matinée.
Quant à Jacques Genest, le conseiller général maire de Coucouron, président des maires ruraux, on a du mal encore à penser qu'il est de droite, tant sa diatribe à l'encontre de la réforme était virulente. Ce qui faisait évidemment le bonheur de Pascal Terrasse, qui comme à son habitude, en a fait des tonnes, une fois sur l'estrade.
Olivier Dussopt quant à lui, a notifié sa présence en posant une question aux intervenants, que seuls auront compris les plus aguerris au langage administratif.
Un congrès des maires pas très passionnant, auquel aura échappé au moins une personne parfaitement excusée elle, le nouveau préfet de l'Ardèche, Dominique Lacroix, qui ne prendra officiellement ses fonctions que demain, lundi 3 octobre. Veinard !
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